Deisis (Christ en Gloire entouré de tous les Anges et Archanges, avec à Sa Droite, la Très-Sainte Mère de Dieu et à Sa Gauche, Saint Jean Baptiste, le Prophète et Précurseur)

vendredi 24 août 2012

Vendredi 11 / 24 Août 2012 - 2 Corinthiens 7 : 10 – 16 (Epître du Jour)


Lectures du Jour (Vendredi 11 Août) :
Epître du Jour
Nouveau Testament  -  Epître
Sagesse ! Tenons – nous droits ! Soyons attentifs !
Deuxième Epître du Saint Apôtre Paul aux Corinthiens
2 Corinthiens 7 : 10 – 16 (Epître du Jour)
[1]  En possession de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, achevant de nous sanctifier dans la crainte de Dieu.
[2]  Faites-nous place en vos cœurs. Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons exploité personne.
[3]  Je ne dis pas cela pour vous condamner. Je vous l'ai déjà dit : vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort.
[4]  J'ai grande confiance en vous, je suis très fier de vous. Je suis comblé de consolation; je surabonde de joie dans toute notre tribulation.
[5]  De fait, à notre arrivée en Macédoine, notre chair ne connut pas de repos. Partout des tribulations : au-dehors, des luttes; au-dedans, des craintes.
[6]  Mais Celui qui console les humiliés, Dieu, nous a consolés par l'arrivée de Tite,
[7]  et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que vous-mêmes lui aviez donnée. Il nous a fait part de votre ardent désir, de votre désolation, de votre zèle pour moi, si bien qu'en moi la joie a prévalu.
[8]  Vraiment, si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Et si je l'ai regretté – je  vois bien que cette lettre vous a, ne fût-ce qu'un moment, attristés –
[9]  je m'en réjouis maintenant, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que cette tristesse vous a portés au repentir. Car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez, de notre part, subi aucun dommage.
[10]  La tristesse selon Dieu produit en effet un repentir salutaire qu'on ne regrette pas; la tristesse du monde, elle, produit la mort.
[11]  Voyez plutôt ce qu'elle a produit chez vous, cette tristesse selon Dieu. Quel empressement ! Que dis-je ? Quelles excuses ! Quelle indignation ! Quelle crainte ! Quel ardent désir ! Quel zèle ! Quelle punition ! Vous avez montré de toutes manières que vous étiez innocents en cette affaire.
[12]  Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n'est ni à cause de l'offenseur ni à cause de l'offensé. C'était pour faire éclater chez vous devant Dieu l'empressement que vous avez à notre égard.
[13]  Voilà ce qui nous a consolés. A cette consolation personnelle s'est ajoutée une joie bien plus grande encore, celle de voir la joie de Tite, dont l'esprit a reçu apaisement de vous tous.
[14]  Que si devant lui je me suis quelque peu glorifié à votre sujet, je n'ai pas eu à en rougir. Au contraire, de même qu'en toutes choses nous vous avons dit la vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s'est trouvé être la vérité.
[15]  Et son affection pour vous redouble, quand il se rappelle votre obéissance à tous, comment vous l'avez accueilli avec crainte et tremblement.
[16]  Je me réjouis de pouvoir en tout compter sur vous.
Toi, Ô Dieu ! Gloire à Toi !

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